Losing time scares you? { Hailey }

Une lettre dans sa boîte aux lettres, Hailey la journaliste d'Aster Cove. Tu l'as croisée plusieurs fois en ville, elle recherche des informations, toi de la distraction. Une idée a germé dans ton esprit tordu, une idée digne de l'androgyne allumé que tu es. 

« Cher Mlle Singh; je vous écris cette lettre, car parler de vive voix est dur pour moi. Il y a plusieurs années avec mes amies, nous nous sommes rendus à la cabane abandonnée, seulement... Je suis la seule à en être revenue. Je suis persuadée que vous trouverez des éléments pour votre enquête. Je suis désolée de ne pas vous accompagner, mais la peur m'en empêche. Je vous prierai de faire attention à vous. N'y allez pas seule. Surtout le soir.

Arizona Latila. »

Un flot de connerie, des mots impensés, la supercherie sera parfaite. Pourquoi fais tu celà ? Pour t'amuser, te distraire... Puis parce que madame t'avait ignoré tout au long d'une soirée, tu l'as raccompagné, mais tout ce qui l'intéresse, c'était son enquête, faux espoir. Alors deux jours après tu lui as envoyé une lettre, un témoignage bidon. Tu lui as précisé la nuit pour qu'elle s'y rende la nuit. C'est exactement pour cela que tu es dans cette cabane depuis presque deux heures. Tu attends qu'elle arrive, pour lui faire peur, tu es habillée de noir, entièrement noir. 

Dissimulé dans un coin de la maison, tu as hâte de lui faire peur, hâte de soulager ta fierté. Cachet derrière la porte, tu attends avec beaucoup trop d'impatience qu'elle arrive, d'abord parce qu'il fait froid, mais aussi parce que la cabane est très sombre et que tu n'es pas vraiment tranquille. En plus, tu n'as pas pris ta voiture, parce que tu ne voulais pas qu'elle la remarque, alors tu resteras bloqué ici toute la nuit si elle n'arrive pas.

Puis des bruits de pas et de la lumière contre les fenêtres, la porte derrière là quel tu es caché s'ouvre, la demoiselle brune rentre dans la pièce, un sourire étire tes lèvres. D'un croche pied tu l'as fait tomber et récupères sa lampe, sans qu'elle n'est le temps de te voir. Tu éteins la lampe et la garde. Tu ressors et l'enfermes dans la cabane, les fenêtres sont barricadées, tu vas t'amuser. Faire grincer le bois autour de la maison, chuchoter de petit bruit. Elle panique sûrement à l'intérieur, lorsqu'elle se rend dans une autre pièce de la cabane tu rentres dans celle-ci et te places dans un placard, tu cris à la mort, puis te cache et ne fais plus aucun bruit. L'envie de rire te viens, tu as placé un meuble devant la porte. Si elle tente de sortir, tu lui sauteras dessus.

Hailey en ce levant ce matin, avait tout préparée pour avoir une journée bien remplie, elle avait sélectionnée des personnes à qui aller parler, mais la journée n'allait certainement pas se passer comme prévue.
Il était tout juste une heure de l'après-midi quand Hailey allait à sa boite au lettres, pour aller chercher son courrier, elle en sortit une lettre ainsi que le journal, elle les prit et les jetaient sur la table en rentrant dans sa maison, elle s'occupait de sa vaisselle et de quelque autres choses, jetant un œil a l'horloge en se disant qu'il allait falloir qu'elle aille aussi aider son père, cela la fit soupirer, attrapant la lettre en l'ouvrant doucement, elle la lue avec attention, fronçant les sourcils à chaque phrase, qui pouvait bien être cette personne qui lui envoyer ce genre de lettre...? Une personne avec qui elle avait parlée et qui n'avait pas été capable de tout dire face à elle, qui avait donc préféré lui écrire et lui envoyait? Ou bien une blague? C'était rare, mais il fallait l''envisager, elle se mordit la lèvre en réfléchissant, allait-elle s'y rendre comme lui disait la lettre?
Elle posait la lettre pour réfléchir à ce qu'elle allait faire, puis elle se décidait finalement à y aller.

Le soir venu elle enfilait des vêtements confortable, une sweat à capuche rouge, ainsi qu'un pantalon de survette bleu marine, elle sortait de chez elle jusqu'à sa voiture, rentrent dedans, allumant le contact avant de partir vers cette petite cabane dans la forêt, elle aurait aimé y aller plus tôt dans la journée, mais cela n'avait pas été possible, elle avait été trop occupée, elle garait sa voiture plus haut sur la route et sortie de cette dernière la verrouillant, puis tout en fermant son sweat elle pénétrait dans la forêt avec hésitation, sortent une lampe torche qu'elle allumait pour y voir quelque chose.
Enfin au bout d'une vingtaine de minute de marche elle aperçut la cabane, , jetant d'abord un oup d'oeil par la fenêtre, avant de se diriger vers la porte, l'ouvrant doucement, elle se mit a grincer ce qui la fit grimacer, ce serait mentir que de dire qu'elle n'avait pas peur. Elle s'entravait en rentrent ou plutôt on lui fit un croche-pied, elle se relevait rapidement, la cabane était plongée dans le noir, mais ou était passé sa lampe? Elle c'était éteinte quelque part en tombant, ou bien, elle n'était pas seule dans la maison et quelqu'un venait de lui voler?  Elle ne savait pas vraiment quoi penser...
La porte se fermait derrière elle, elle y retournait en courant tentent de l'ouvrir, sans y parvenir.
Des bruits se fit entendre autour de la maison, elle avalait sa salive difficilement en reculant, tombant dans une autre pièce, elle regardait autour d'elle bien qu'elle n'y voyait pas grand chose.

''Allez tu peux le faire...''

Se fit-elle à elle même en retournant vers la porte d'entrer, ne sachant pas qu'un placard s'y trouver, elle ouvrait donc le placard au lieu de la porte, chose qu'elle ne remarquait pas de suite, mais voyant que la porte ne menait pas vers l'extérieur, elle eut par réflexe plaçait une main dans le placard et sentent Hayate mais sans savoir ce que c'était, je criais en renversant le placard à l'envers les portes vers le bas, tu étais donc bloquer à l''intérieur. Hailey restait la sans bouger se demandent ce qu'il y avait la dedans... Elle cherchait du regard sa lampe torche, qu'elle ne trouvait pas. Elle se raclait donc la gorge en regardant autour d'elle attrapant n'importe quoi, un barre en fer, au cas où.

Le placard s'ouvre, surprise, tu tentes de te faire discrète, elle pose sa main contre ton bras, puis elle se met à crier et renverse le placard dans lequel tu es. Elle doit avoir une force absolue pour arriver à faire ceci. Tu tombes, tu percute les portes du placard dans lequel tu es maintenant bloqué.

- Putain ! Itai … !

Tu ne peux que difficilement bouger, tu ne peux pas sortir, tu as la lampe entre tes mains et le cœur affolé.

- Laisse moi sortir ! Tu es Hulk ou quoi ?!

Tu entends en suite le bruit de la barre en fer qui te fait soudainement amèrement regretter d'être aussi idiote. Peut-être que tel est prise qui croyait prendre, peut-être que tu vas te retrouver bloquer dans cette armoire à tout jamais. Tu te retournes dans l'armoire et tapes avec tes pieds pour exprimer le mécontentement, puis tu es à la limite de la claustrophobie. Ta blague s'est retournée contre toi, ton cœur tape fort dans ta non-poitrine. Tu espères secrètement lui faire manger le placard lorsque que tu sortiras de ce placard. Vraiment, tu as les nerfs à vif.

- Sérieux, laisse moi sortir, sinon je vais crever et je te hanterais. J'te le promets.

Tu râles, parce que tu as les nerfs d'être celle qui est coincée dans cette armoire. Tu as peur de ce qu'il pourrait se passer, mais de toute façon elle sera obligée de bouger l'armoire pour sortir de la maison, ce n'est pas avec la toute petite fenêtre qu'elle pourra faire autrement. Tu ne vois vraiment pas comme elle va pouvoir faire pour te sortir de là, puis d'ailleurs, tu n'es pas sûr qu'elle va le faire. C'est quasiment impossible.

Hailey avait sa main bien resserrer sur le bout de fer qu'elle tenait, lorsqu'elle t'entendit te plaindre, elle soupira, non pas parce qu'elle était énervé que tu ais fais une tel farce, mais plutôt parce qu'elle était rassurée que ce qui se trouver là dedans, était bien vivant, et comment, vivant mais en plus malpolis, tu avais non seulement voulue la piéger mais maintenant étant tombé dans ton propre piège tu râlais d'être bloquée, elle étouffait un petit rire amusée par la suite de ta phrase, tu étais enfermée là et lui ordonner de t'aider, cependant, maintenant c'était elle qui avait l'avantage, elle lâchait la barre en fer, pas trop loin, on ne sait jamais.

'' Tu vas me crever ? ''

Elle riait mais cette fois, ouvertement en t'entendant, puis écoutais la suite de tes mots en essayant de reprendre son sérieux.

'' Non mais sérieux, tu crois que c'est en me menaçant que je vais venir t'aider ? Tu t'es prise pour qui sérieux ? Mais bon tu as de la chance, je ne tiens pas à ce que tu meurs dans une longue et cruel agonis car tu as voulue me piéger, attention accroche toi, je vais pas le soulever t'es trop lourde. ''

Elle venait attraper les côtés du placard en le poussant de manière à ce qui se retourne, mais n'y arrivant pas si facilement, elle s'aidait de la barre de fer, la tournant d'abord sur un côté, effectivement il était difficile de le faire tourner un demie tour d'un coup, puis donne un coup de pied, pour qu'il retombe sur le dos, se faisant les portes était vers le haut. Une fois le placard retourner, elle se reculait en t'ouvrant les portes tout en reprenant la barre de fer.

'' Alors, tu comptes me dire ce que tu voulais exactement... ? Pourquoi cette blague pourrie, soit dit en passant... Imagine j'aurais été cardiaque j'aurais fait un arrêt cardiaque à cause de toi, mais ma pauvre t'ai complètement inconsciente ! ''

Elle rit, elle se fou littéralement de toi, apparemment elle trouve ça marrant que tu oses lui donner des ordres dans la position dans la quel tu te trouves. Effectivement, tu ne devrais pas la ramener Hayate.

- Pas toi, moi. Moi je vais crever, je suis à demi claustrophobe.

Ce n'est pas tout à fait faux, mais pas réellement vrai, un demi-mensonge. Tu entends la barre à faire être jeté plus loin en riant encore plus, beaucoup trop. « Tu t'es prise pour qui sérieux ? » Comment ça tu t'es « prise » ? Tu n'es pas une meuf. « Tu es trop lourde. » Le commentaire que tu haïs le plus au monde, le commentaire que tu méprises au plus haut point.

- Je suis pas lourde.

Elle se démerde pour tourner le placard, tu es retourné sur le ventre dans le placard, tu ne bouges pas ou très peu lorsqu'elle ouvre les portes. Elle tient sa barre en fer dans les mains, tu te relèves et la regardes. Elle continue de te parler en utilisant des mots féminins pour te parler.

- Je suis pas une nana. Si tu avais étais cardiaque j'aurais pas eu autant de soucis.

Tu râles et croises les bras, tu voies bien qu'elle à la barre de fer bien en main et qu'elle pourrait s'en servir contre toi, seulement tu penses que si elle avait voulu le faire elle l'aurait fait 20 fois. Alors tu sors du placard les mains en l'air, tu passes devant elle et la regardes attentivement en baissant les bras.

- En vrai a se voit que tu es incapable de faire de mal à une mouche.

Rapidement tu attrapes son bras et saisis la barre en fer, tu te baisses et la tourne pour rapidement t'éloigner d'elle avec la barre de fer, un sourire narquois se dessine sur ton visage.

- Je voulais juste te voir, c'est tout. Je vais nous ouvrir.

Avec la barre en fer tu ouvres la fenêtre où les planches sont scellées.