| Sujet: (F) Teresa Oman - she is electricity Lun 8 Oct - 10:45 | |
| | Catalina Flores | NOM : Flores, on entend ses origines, souligne même ses racines qui ont beaucoup bouger pour finir ici à Aster Cove. Ce nom est négociable. PRÉNOM(S) : Catalina. Prénom qui se fait absent des bouches, elle se refusait de l'entendre dans sa totalité, elle n'acceptait plus que la " Lina", effaçant une partie d'elle-même pour choisir ce qu'elle voulait garder. Prénom négociable, tant que le surnom qui en découle donne "Lina" ÂGE : Du haut de ses 20 ans, mi-gamin mi-femme, elle était coincée entre deux âges. Encore trop jeune pour qu'on voit en elle une adulte, mais trop vieille pour désormais qu'on lui pardonne les erreurs enfantines. LIEU ET DATE DE NAISSANCE : Date et lieu au choix STATUT CIVIL : Célibataire, elle avait toujours vu l'affection comme une forme de faiblesse. Comme une forme de soumission à l'homme, elle qui crevait d'être l'égale de ses paires, elle craignait qu'on ne finisse de la voir que par une femme qu'elle voulait trop souvent ne plus être. PROFESSION / NIVEAU D’ÉTUDE : Vendeuse au Comic Book Store. Derrière le comptoir en bois de cette boutique qu'on la trouve à faire ses journées. Parfois avachit sur sa chaise, ou en train de lire une nouveauté. CLASSE SOCIALE :Classe moyenne. Sa famille n'avait jamais roulé sur l'or mais ça n'avait jamais été une chose qui l'avait dérangé. AVATAR : Teresa Oman. Négociable avec Ira Chernova, Marina Nery , Kaya Scodelario, Zoey Deutch, Giza Lagarce, Anna Speckhart, Natalia Dyer, Taylor Lashae, Magdalena Zalejska, Ellie Martin, Bridget Satterlee , Olivia Cooke, Luca Hollestelle, Natalie Westling, Ellie Bamber . CRÉDIT : DΛNDELION |
CARACTÈRE + : Amical, Artistique, Astucieuse, Charismatique, Dynamique, Énergique, Intelligente, Libre, Persévérante. - : Brusque, Complexée, Désinvolte, Impulsive, Joueuse , Indomptable, Obstinée, Possessive, Têtue.
POINT PERSONNAGE
- Fille a la famille parfois bien trop nombreuse à son gout. Elle disparaît entre ses 5 frères et soeurs, dont elle n'est ni l'ainée, ni la cadette. Taper du pied et jouer des coudes pour ce fair entendre et respecter, c'est à cause de sa fratrie qu'elle l'apprit. À la dure, elle avait toujours eu beaucoup plus d'affinités avec ses frères et ses soeurs, car elle jouait aussi brusquement qu'elle. Lina, ça n'avait jamais été le genre de fille à avoir peur de se faire mal de toute manière. - Pas assez fille, c'est une chose qu'elle a bien trop entendue dans la bouche de sa famille. Une remarque qui se voulait un conseille de sa mère, mais qui était comme un couteau dans son coeur. Un pic de la bouche de ses frères " Mais de toute manière, tu n'es pas une vraie fille toi". Une méchanceté dans la bouche de ses soeurs. Mais Lina, elle ne comprenait pas en quoi son manque de coquetterie et de niaiserie, la rendait moins femme que d'autres. Comme si on attendait d'elle une image de perfection, de raffinement et de féminité, qu'elle était incapable de leur montrer. - Continuellement a la quête de sa place dans le monde. Lina, elle ne sait pas ce qu'elle va faire dans le futur, elle l'a jamais su et parfois, elle pense qu'elle ne le saura jamais. Elle se voit comme une poussière dans le Sahara. Alors elle s'évertue à faire comme si tout allait, et pourtant elle porte un poids qu'elle ne comprend pas. Elle a cette tristesse qu'elle se refuse d'assumer, ses craintes qu'elle ne veut avouer. -- La colonie de vacances, c'était le seul endroit où elle avait finalement l'impression qu'on l'acceptait comme elle était. On n'avait pas d'attente à son égard, c'était simplement tout ce qu'elle pouvait aimer. Cette sensation même éphémère qu'on la voyait pour ce qu'elle était et non pas pour ce qu'elle devait être. Les amitiés qu'elle avait pu construire là-bas étaient des plus précieuses. Les souvenirs qu'elle en gardait, elle les chérissait. Et même si tout n'était pas parfait en colonie, elle ne regrettait pas une seule seconde. - Souffre d'Astraphobie, la peur du tonnerre et de la lumière surtout lorsque celle-ci est anormalement éclatante. Lina ne peut s'empêcher de paniquer lorsqu'elle entend un orage éclater. Incapable de se calmer, elle est prise de tremblement et se met à pleurer, incapable de se contrôler. - Elle a les clés, de chez Edgar et Joseph. Et disparaît de la maison familiale surpeuplée lorsqu'elle a besoin d'un peu d'air, et part se réfugier chez les deux garçons, qui l'accueillent sans poser de questions.
| AINSI VA LA VIE |
(c) bird box.
Edgar Smith : Il est parfois compliqué de mettre des mots sur une chose que nous-mêmes sommes incapables de comprendre. Edgar et Lina, ça avait toujours été ainsi, indescriptible. Ils se sont rencontré et partageaient une certaine colère, elle à cause de sa famille, lui car il n'en avait pas. En premier abord on aurait pu croire que cela aurait fait des étincelles, chacun qui aurait aimé avoir ce que l'autre ne supportait plus. Elle la liberté de n'avoir personne pour la juger, lui avoir simplement des racines auxquelles se rattacher. Des étrangers qui ne parlaient pas le même langage. Ils auraient simplement pu s'ignorer mais ils en étaient incapables, poussant l'autre à atteindre ses limites, ou à les dépasser. Et ce qui avait simplement commencé comme une espèce de confrontation s'était transformé en une amitié qu'on ne pouvait réellement comprendre, une rivalité qui avait tout simplement évolué en un jeu qu'ils n'avaient jamais cessé de jouer. Le groupe qui s'était formé à la colonie, et dont ils faisaient partie, avait vaincu le temps pour perdurer malgré les années. Et pourtant ils continuaient leur jeu, cette espèce de mise à l'épreuve de l'autre, qui finalement ne faisait que cacher la vérité. Ils étaient trop fiers, et probablement trop effrayer d'avouer qu'au fond de leurs coeurs il y avait une autre envie qui les poussait autant à se provoquer. Quelque chose de plus primaire qui n'avait fait que grandir au fil des années. Car elle ne voulait pas être " une parmi tant d'autres" dans la vie d'Edgar. Et lui n'avait que trop peur de l'inconnu. Alors ils se donnaient à ce stupide jeu, qui ne leurrait personne si ce n'était eux. En se parlant parfois de bien trop prêt, et ne pouvait retenir une certaine possessivité envers l'autre. Basé sur un simple "si tu cèdes tu perds", qui les maintiennent dans l'illusion que ce n'est qu'un jeu et non pas la réalité - petit +:
« allez juste une seule pour me faire plaisir » «Edgar ! » « allez ! S'il te plaît Lina ! »" son sourire illumine son visage lorsqu'il voit qu'elle renonce, qu'elle accepte sa requête. Edgar c'était loin d'être un mauvais gars, malgré tout son caractère bien étrange qui faisait plus de lui un drôle d'oiseau qu'autre chose. Alors oui, on se moquait de lui car ce n'était pas ce qu'on pouvait appeler l'homme le plus viril de ses murs, mais il s'en foutait. Laissant glisser sa main dans ses cheveux, il jubilait presque lorsqu'il alluma la musique. Un slow. Puis il tendit la main vers Lina qu'elle s'approche. Ça l'amusait un peu, puis c'est surtout qu'il aimait toujours s'occuper, jamais de la même manière mais toujours avec panache. Elle semblait gênée, c'était étrange une si belle fille qui semblait ne pas s'accepter comme tel. Edgar il trouvait que ça rajoutait à son charme, l'assurance à outrance ça pouvait gâcher des beautés. Et Lina c'était comme un diamant brut, il y avait pas besoin de le tailler pour qu'il soit magnifique. A ses yeux, elle n'avait pas besoin d'artifice ni d'attitude pour rayonner. Il glissa sa main dans son dos et l'approche de lui. Capturant sa seconde main dans la sienne, les posant sur son torse comme pour maintenir une certaine distance entre eux. Puis il la regardait tout simplement. Entamant des mouvements lents et tendre que les slows imposaient. Il aurait pu se perdre pendant des heures dans son regard. Et plus la musique passait, plus il réduisait l'espace entre eux. Son nez effleurant la joue de la belle. Il se laissa emporter par le moment. Glissant sa main en bas de son dos. effleurant de ses lèvres la peau de son cou. Il le sentait son cœur d'emballer comme jamais, peut-être car il y avait ce jeu entre eux. Se forcer à pas céder alors qu'on en crève d'envie, ça rendait pas les sensations plus fortes . Sentir son corps simplement quémander un peu plus, ce n'était pas ça qui était affreusement plaisant. Alors imaginer céder a cette envie... Sur cette pensée , il posa doucement sa bouche sur le cou de Lina . Puis la musique fut terminée et toujours dans une grande délicatesse, il s’éloigne d’elle « merci » murmura-t-il le souffle court. Le sourire niais illuminant son visage comme un gamin ayant reçu le cadeau qu'il avait toujours souhaité
Les Luluriens: Gamins et en colo, ils ont fait des courses de bateau contre les autres villes et ont toujours gagné. C'était un peu comme leur réputation à l'époque où ils étaient les rois de l'eau. Ils ont continué à faire divers sports aquatiques sur l'eau pour se remémorer des bons souvenirs. Ils sont également encore très proches de Lulu, leur monitrice. plus d'explication ici |
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